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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

La vague de froid réchauffe le commerce en France

chauffage d'appoint

Photo: Jérôme Fouquet


La baisse vertigineuse du thermomètre fait des heureux. Spécialistes de l’habillement et chauffagistes,entre autres, y trouvent leur compte, à l’heure où les ventes de potage se portent bien.

Doudounes, gants, bonnets ont la cote…

La persistance du grand froid est une aubaine pour la filière. Conjuguée aux soldes qui avaient mal démarré et prennent fin le 14 février, cette météo sévère permet d’écouler doudounes, gants, écharpes, bonnets, gros pulls et autres effets d’hiver qui s’entassaient dans les remises.

Aujourd’hui, certains de ces rayons sont vides.

Et les pics de consommation pour des marques comme Damart et son sous-vêtement Thermolactyl qui a franchi, mercredi, la barre des 300 millions d’exemplaires vendus en France, persistent. Des ventes boostées aussi sur Internet. Selon la Fédération du e-commerce et de la vente (Fevad), ce secteur survitaminé enregistre une hausse des ventes de 9 %, avec un panier moyen de + 3 %, à 76 €.

Ruée sur le fuel domestique.

Certes, la consommation d’électricité bat des records, mais les distributeurs de bois et de fuel ne chôment pas. À l’image de Jérôme Decorce, patron de Distri-fioul 44, à Saint-Herblain, près de Nantes. « Bon nombre de nos clients surpris après un début d’hiver doux ont des cuves basses, voire vides. Il y a tellement de demandes que les pétroliers ont du mal à suivre. Dans un marché déjà tiré vers le haut, les prix gonflent. En quinze jours, le prix du litre est passé de 0,930 € à plus de 1 €. Pour nous, c’est le gros rush jusque fin février ».

Les demandes en chauffage explosent.

Achats de poêles ou de chauffages d’appoint, les consommateurs se ruent dans les grandes surfaces. « Nous sommes déjà en rupture de stock sur certains modèles. Notamment ceux à bain d’huile », assure le responsable chauffage du Leroy-Merlin de Chantepie, près de Rennes. De mémoire de vendeur, il dit n’avoir jamais connu une telle situation. « Avec la subite vague de froid, notre chiffre d’affaires a bondi de 50 % à 100 % selon les modèles. » Au hit-parade des ventes, les petits modèles électriques entre 50 et 100 €.

Les garagistes: pas de gros « bouchons ».

Alors que leur département a été plus épargné que d’autres, les professionnels des Côtes-d’Armor, par exemple, n’ont pas assisté à un rush. Moins de gel sur les routes qu’ailleurs, moins de tôle froissée. Idem chez Midas à Coutances (Manche) où « on enregistre + 10 % de problèmes de bougies de préchauffage et de batterie, mais rien d’exceptionnel ». Preuves disparates d’une amélioration continuelle de l’état du parc automobile ?

Alimentation : le plein de soupe.

Par les temps qui courent, la consommation de soupe a grimpé de 20 %. Celle du thé devrait connaître un pic de + 11 %. Pareil pour les poudres chocolatées (10 %) alors que les légumes surgelés accusent un + 9 %. Avant la vague de froid, les consommateurs s’étaient peu tournés vers les légumes de saison stockés alors en chambre… froide par les producteurs. Depuis l’arrivée du gel, poireaux, carottes, choux et navets sont revenus sur les étals. Leurs prix augmentent, mais dans des rapports comparables à ceux de l’an dernier, assurent les distributeurs, sauf pour la mâche ou les salades en général dont la coupe est impossible depuis le début des grands froids.

Le BTP grelotte.

Dans ce secteur, bon nombre d’entreprises ont déclenché le dispositif « intempéries ». En fonction du gel, certains chantiers sont plus touchés que d’autres. Là, les ouvriers sont invités, au jour le jour, à rester chez eux. Fort heureusement, durant ces périodes, leurs salaires sont pris en charge à 100 % par la profession, via la Caisse d’intempérie du Bâtiment et des travaux publics (Cibtp).

[via]  Pierre Cavret et Samuel Nohra, ouest-france.fr

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