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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Fini les intermédiaires à Arles, des producteurs aux consommateurs

producteurs à consommateurs

Le directeur du Min de Châteaurenard Jérémie Becciu (à gauche)
et Jean-François Chauvet, producteur à Châteaurenard.
Photo Arnold Jerocki

Une petite révolution à n’en pas douter. Rompant avec d’anciennes pratiques, la grande distribution se tourne de plus en plus vers les producteurs locaux. À commencer par l’hypermarché Leclerc qui accueille jusqu’à samedi un groupement de dix producteurs du pays d’Arles.

Au-delà de l’opération commerciale, l’événement a un véritable sens.

En atteste hier matin la présence du nouveau directeur du Marché d’intérêt national (MIN) de Châteaurenard, le plus important en France après Rungis. Jérémie Becciu, qui s’est d’ailleurs fixé pour mission la reconquête du marché local. « Pourquoi aller acheter des tomates en Espagne ou en Bretagne alors qu’on est en pleine production ici ? Vendre sur place est une démarche écologique et économique responsable, on gagne sur de nombreux postes comme les coûts de transport, de logistique », argumente-t-il. « C’est gagnant-gagnant bien sûr », poursuit le directeur du Leclerc Eric Rebours qui a instauré un partenariat avec des agriculteurs du pays d’Arles dès l’ouverture de son magasin en mai dernier.

Gagnant, Jean-François Chauvet, l’un des dix producteurs, présent hier matin l’est aussi. « Ce genre de partenariat permet de sauter des intermédiaires et nous vendons de ce fait nos produits un peu plus chers, sans que le client soit pour autant pénalisé. » Le fait n’est pas négligeable après trois années d’une profonde crise, même si certains produits sont encore aujourd’hui négociés en gros au-dessous du prix de revient.

Gagnant enfin, le client qui peut acheter des produits de qualité. « Ce genre d’opération permet également de proposer des produits que les clients n’achèteraient pas forcément en rayon. Comme cette caissette composée de plusieurs variétés de tomates. Avec ça on peut faire l’apéritif, des farcis, des tomates morzarella, se régaler plusieurs jours », poursuit Éric Rebours. La vente directe, ou quasi-directe, permet enfin aux clients de discuter avec les producteurs.

« Ils me demandent très souvent d’où nous venons, comment nous produisons les fruits et légumes. C’est important de restaurer cette confiance entre nous. Moi j’explique que nous pratiquons une agriculture intégrée, respectueuse de l’environnement », poursuit Jean-François Chauvet. L’occasion aussi, de renouer le lien entre des clients et des producteurs qui s’étaient peut-être perdus de vue.

Côté prix, on trouvait hier la pastèque de 3 kg sans pépin à 3 euros, la caissette de 3 kg de tomates grappe à 5 euros, les 3 concombres à 1,50 euro, le plateau de 4,2 kg de pêches jaunes à 6 euros.

[via]  Jean-Luc Parpaleix, laprovence.com

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